
Omar DAVIES et Aron LIVINGSTON encore un peu la tête dans le cigare du titre, JR SMITH et MING sur un déclin léger, GALLINARI en train d'apprendre les exigences du basket BTS, c'est Evan KRAUSE, le musculeux et métronomique ailier des PACERS qui est le plus en vue dans son équipe. Véritable poumon de l'équipe

Replacé guard officiellement, YOUNG continue à progresser. Ses stats individuelles parlent pour lui, c'est volumineux, c'est propre, c'est cadré et en plus il plie en 4, tels BETSEN sur BERNAT DE SALLES (ou tel Di-MECO sur n'importe quel avant-centre), ses vis à vis.
Et vu que les BULLS ne lâchent rien aux adversaires, il est normal de trouver YOUNG nominé.

On a retrouvé le Dwight HOWARD de ses jeunes années, celui qui squattait les hautes sphères de la MVP race avec le MAGIC.
Extrêmement efficace, intimidateur à souhait, HOWARD est le pilier du HEAT, celui qui, bon an mal an, retient toute la maison. C'est bien simple, il n'est jamais descendu sous les 15 de DGR cette saison.

L'impact de Jarret JONES va au-delà des statistiques, rien que son nom suscite la peur chez ses adversaires en atteste les 0.26 de DGR/min laissés aux extérieurs sur lesquels il a défendu.
Grâce à JONES, Boston ne baisse plus les yeux devant les favoris.

HORFORD est un peu le HOWARD des NETS, pas le faire valoir de Colt SIVERS entendons-nous bien. Régularité, combattivité, sueur, discrétion résume le bonhomme. Le complément parfait de l'exhubérant Abe BENEDICT. Et si l'apôtre était plus important que le prophète dans le système de Kaiser?