COACH OF THE MONTH NOVEMBRE EST
Publié : 31 mai 2010 16:23
DAGILL - NY - 7/3
Orphelin de son floor general RONDO, Dagill a réussi le tour de force de hisser ses KNICKS à la deuxième place de la conférence EST. Apôtre de la défense, le coach Helvète s'appuie en attaque sur les progrès de son pivot star Greg ODEN et sur les shoots old school de son ailier HUCKE dans le périmètre. Evoluant sur un tempo intermédiaire, les KNICKS se placent en deçà en valeur absolu d'autres franchises en terme de défense mais en valeur relative c'est une autre histoire.
ELIE 23 - INDIANA - 9/2
Les sceptiques diront qu'il dirige la plus talentueuse escouade sur le papier que la ligue a jamais connu. Néanmoins il convient de faire cohabiter les égos et mettre en place une certaine alchimie. C'est ce qu'ELIE réussit à faire en s'appuyant sur des joueurs discrets comme DAVIES ou KRAUSE, des ciments du collectifs.
BREIZHWAN - DETROIT - 7/4
Preuve de son talent de meneur d'hommes, le coach Breton des PISTONS a vite redressé une la barre après une première vague mal embarquée. Aujourd'hui, le back court WILLIAMS - MAZOR est un des plus productif de BTS tandis que le duo de maçons Sean WILLIAMS - Tyrus THOMAS empêche autant que possible les intérieurs adverses de s'exprimer. Un basket simple mais diablement efficace.
KAISERPHOENIX - NJ - 9/6
En associant Abraham BENEDICT et Andy BOYER, deux scoreurs patentés, à des équipiers de devoir tels Al HORFORD, Jesse WINSLOW ou Julian WRIGHT, KAISERPHOENIX semble avoir trouvé la bonne carburation. Et pourtant trader un meneur comme DAVIES dans un contexte de pénurie sur le poste était un pari audacieux. La tournure que prend la saison en ce mois de novembre semble en tout cas donner raison à KAISER.
FANCHIC - BOSTON - 9/6
Habitué ces dernière saisons à commencer l'exercice dans les bas-fonds du classement pour redresser la barre vers la mi-saison, FANCHIC a voulu mettre à l'abri du doute ses troupes. En proposant une défense étouffante sur les postes 1, 4 et 5, les CELTICS n'ont plus qu'à compter sur des prestations correctes de ses cadres et non plus sur des exploits individuels plus incertains. Ayant évolué sans leur leader défensif durant 4 rencontres, BOSTON aurait même pu prétendre à un bilan plus flatteur.
Orphelin de son floor general RONDO, Dagill a réussi le tour de force de hisser ses KNICKS à la deuxième place de la conférence EST. Apôtre de la défense, le coach Helvète s'appuie en attaque sur les progrès de son pivot star Greg ODEN et sur les shoots old school de son ailier HUCKE dans le périmètre. Evoluant sur un tempo intermédiaire, les KNICKS se placent en deçà en valeur absolu d'autres franchises en terme de défense mais en valeur relative c'est une autre histoire.
ELIE 23 - INDIANA - 9/2
Les sceptiques diront qu'il dirige la plus talentueuse escouade sur le papier que la ligue a jamais connu. Néanmoins il convient de faire cohabiter les égos et mettre en place une certaine alchimie. C'est ce qu'ELIE réussit à faire en s'appuyant sur des joueurs discrets comme DAVIES ou KRAUSE, des ciments du collectifs.
BREIZHWAN - DETROIT - 7/4
Preuve de son talent de meneur d'hommes, le coach Breton des PISTONS a vite redressé une la barre après une première vague mal embarquée. Aujourd'hui, le back court WILLIAMS - MAZOR est un des plus productif de BTS tandis que le duo de maçons Sean WILLIAMS - Tyrus THOMAS empêche autant que possible les intérieurs adverses de s'exprimer. Un basket simple mais diablement efficace.
KAISERPHOENIX - NJ - 9/6
En associant Abraham BENEDICT et Andy BOYER, deux scoreurs patentés, à des équipiers de devoir tels Al HORFORD, Jesse WINSLOW ou Julian WRIGHT, KAISERPHOENIX semble avoir trouvé la bonne carburation. Et pourtant trader un meneur comme DAVIES dans un contexte de pénurie sur le poste était un pari audacieux. La tournure que prend la saison en ce mois de novembre semble en tout cas donner raison à KAISER.
FANCHIC - BOSTON - 9/6
Habitué ces dernière saisons à commencer l'exercice dans les bas-fonds du classement pour redresser la barre vers la mi-saison, FANCHIC a voulu mettre à l'abri du doute ses troupes. En proposant une défense étouffante sur les postes 1, 4 et 5, les CELTICS n'ont plus qu'à compter sur des prestations correctes de ses cadres et non plus sur des exploits individuels plus incertains. Ayant évolué sans leur leader défensif durant 4 rencontres, BOSTON aurait même pu prétendre à un bilan plus flatteur.